Tout commença ici même où je vous livrais quelques-uns de mes fantasmes. Petit à petit nous avons fait connaissance, vous avez peu à peu pris beaucoup d’emprise sur moi. Nous nous sommes rencontrés et avons eu plusieurs rencontres des plus torrides. Une véritable relation Maîtresse-Soumis s’établissait.

J’avais un peu oublié tout ce que nous nous étions confié mais je compris plus tard que vous, vous n’aviez pas oublié, loin de la... Nous nous étions mis d’accord sur une séquestration que j’accepterais le jour où vous le désireriez. Mes désirs n’étaient pas tombés dans l’oreille d’une sourde...

Un jour vous me dites avoir déménagé pour une petite maison à la campagne et que vous seriez satisfaite que je vous y rejoigne pour le week-end... Comme nous en avions l’habitude. Très heureux de vous y rejoindre et désireux de vous plaire, je ne me fis pas prier. Vous aviez particulièrement bien prévu votre coup... La maison était isolée en campagne et les moyens de communication (téléphones et autres tentations d’échappatoire)... Vous y aviez pensé.

Le jour J j’arrive à la gare et prends un taxi pour vous rejoindre. Le chauffeur me laisse avec seulement mon sac à dos à votre porte. Je frappe alors, et vous m’ouvrez dans une tenue si sexy et suggestive qu’elle renforce encore davantage votre nature dominatrice. J’étais déjà excité rien qu’à l’idée de vous rencontrer mais là je me sens submergé par une émotion bouleversante, une intuition, une promesse de quelque chose d’exceptionnel à venir. Vous me demandez alors de descendre de mon fauteuil roulant pour m’asseoir sur le sol à vos pieds. Je m’exécute... Puis de but en blanc vous me dites :

— Lèche-moi, fais-moi jouir, je te veux entre mes cuisses !

— Oui ma Maitresse adorée.

Je commence alors à vous embrasser les cuisses timidement, en douceur, je remonte doucement là où la peau est si douce, et m’y attarde longuement, vous couvrant de baisers, collant mon visage contre vos cuisses généreuses... L’envie monte très vite en vous, alors que vous me prenez par les cheveux et me collez directement la bouche sur votre sexe déjà humide. Je pousse de petits gémissements de ce plaisir ainsi imposé, complètement enivré par le goût et le parfum de votre sexe divin. Ma bouche appuyée sur vos lèvres voluptueuses, je lèche avec passion. Ma langue chaude et puissante s’abreuve à votre mouille, vos lèvres s’ouvrent telles une fleur sous mes caresses.

— Mieux que ça, prouve-moi que tu me mérites !

Je m’applique alors avec encore plus de dévotion et vous pénètre de ma langue, qui entre profondément dans votre sexe. Votre main toujours sur mes cheveux, je ressens toute votre emprise sur moi, ce qui m’excite encore plus. La pression forte de vos mains, qui m’attire toujours plus vers vous, ne me gêne en rien pour faire de rapides va-et-vient en vous, la langue bien tirée, qui vous pénètre...

— Encore mon Gourmand, encore...

Ainsi encouragé, je colle fougueusement mon visage entre vos cuisses ma langue tirée avec encore plus d’envie, je secoue la tête vivement de droite à gauche, toujours plus soucieux de votre seul plaisir.

— Bouffe-moi ! Petit salaud... Mange-moi... Encore, je te veux.

J’écarte vos lèvres et saisis votre clitoris gonflé entre mes lèvres. L’envie de jouir commence à monter en vous.

— Suce-le ! Mange-le ! Petite lope, fais-moi jouir !

Le bonheur de vous servir envahit mon être dans l’envolée de votre plaisir. Je commence alors à le sucer doucement, puis avec plus de vigueur... Vous jouissez alors longuement d’un premier orgasme fort, et après vous être ressaisie un instant vous me faites remarquer que j’étais arrivé plus d’une demi-heure en retard...

— Je ne trouvais pas de taxi Maîtresse, il y avait foule à la gare. Excusez-moi.

— Bien... Sais-tu que toute faute doit être punie et que tout pardon se mérite ?

— Je comprends Maitresse...

— Nous verrons cela plus tard. Pour l’instant je ne vais pas me priver du plaisir de te retrouver. Allonge-toi au sol et déshabille toi, je reviens.

Je m’exécute, totalement ravi de ce moment. Vous revenez mais cette fois-ci vous n’avez plus votre jupe. Votre beauté, vos formes généreuses me fascinent. Mon regard est happé par votre tenue, vous portez un corset de cuir noir, des bottes brillantes jusqu’au-dessous du genou, et une cravache à la main. Pourtant, vous êtes si différente des clichés, des photos SM, vous êtes entière, ronde, vos formes sont généreuses et voluptueuses, vos seins n’ont aucune peine à remplir le corset...

Ils le feraient même plutôt craquer. Vous vous mettez alors au-dessus de moi debout, les jambes écartées pour me laisser voir votre sexe... J’entre dans un autre univers... Votre univers... Je vous dis alors combien vous êtes merveilleuse et sublime... Que je serai vôtre tant que vous le désirerez.

— Tu n’auras pas le choix de toute manière mon mignon !

Le sourire aux lèvres je vous réponds par un Merci. Vous vous accroupissez alors au-dessus de moi, pour me faire vous lécher à nouveau... Je recommence, j’ai un peu mal à la langue mais ce n’en est que plus délicieux, avoir mal en partageant du plaisir avec vous... L’envie de jouir remonte en vous rapidement... Nous nous sommes manqués... Les retrouvailles intenses.

Vous vous asseyez alors de tout votre poids sur mon visage dans un facesitting des plus délicieux... J’ose poser deux mains sur vos fesses timidement, craignant de ne pas en avoir le droit. Mais loin d’un refus, vous collez vos deux mains sur les miennes. Je lèche, j’étouffe sous votre cul, je suis au summum du ravissement. Vous vous frottez alors le long de mon visage avec ardeur et m’ordonnez de tirer la langue, encore mieux que cela. Je la colle fortement pour épouser votre entrejambe, je ne peux de toute manière rien faire de plus. Après m’avoir à mon grand plaisir longuement v i o l e n t é vous vous relevez et me dites

— Alors, tu m’as apporté ce que je t’avais demandé?

— Oui, les piqûres pour me faire bander sont dans mon sac.

Vous allez alors en chercher une et me piquez ma petite queue sans un mot, je vous regarde faire. Vous vous allongez sur moi en me disant autoritairement "Mon cul maintenant petite salope". J’obéis, heureux d’être au service de votre plaisir. Reposant mes mains sur vos fesses vous me dites "Ecarte ! Bouffe-moi bien et applique-toi". Ma queue commence à durcir un peu mais elle peine à vous honorer. Vous la prenez dans votre bouche experte, ce qui ne manquera pas de la faire se dresser et satisfaire votre gourmandise. Je lèche la fleur qui s’offre à moi, je l’entoure de ma bouche en faisant un O avec les lèvres et n’ai guère à forcer le passage pour que ma langue glisse dans votre anus dont je ne prends pas moins soin que votre chatte dans ce soixante-neuf que vous prenez plaisir à faire durer longuement, délaissant de temps en temps ma petite queue pour vous asseoir sur mon visage violemment, remuant vos fesses sur moi. Vous m’étouffez entre vos fesses de Déesse et les remuez sans me ménager.

La sensation est exquise. J’ai la bouche douloureuse, je suffoque sous des sensations divines qui vous ravissent. Ma queue a fini par durcir et vous vous mettez dessus... Me possédant totalement. Votre féminité a asservi ma virilité dans les sévices les plus plaisants... Vient alors le repas du soir.

Vous m’avez fait venir pour le week-end que nous passons de manière des plus plaisantes. Je prépare les repas et ne mange pas toujours en même temps que vous. Je dois parfois rester sous la table tenu en laisse à vos pieds. Mais je jouis du droit de me coller le long de vos jambes ou entre elles, ce qui me convient à merveille. J’ai enfin trouvé une femme qui sait me mettre à la place que je dois occuper auprès d’elle !

Elle adore me réveiller en pleine nuit sans un bruit pour se servir de moi comme d’un sex-toy avec ma queue ou pour que je la lèche, s’amuse en me torturant les tétons. Elle ne se prive pas de vérifier si oui ou non je lui avais menti lorsque je lui avais dit que je ne sentais pas mon sexe. Elle s’amuse à le cravacher alors qu’elle vient juste de le faire bander. Doucement elle commence puis augmente la force des coups. Mon sexe gonfle et rougit. Elle le prend dans sa bouche en me regardant avec une lueur coquine dans les yeux. Je suis en extase devant cette femme qui à chaque instant prend de plus en plus d’emprise pour moi. Le temps passe un peu, nous prolongeons la durée de mon séjour chez elle... Je crois encore qu’il ne s’agit que d’un séjour... Je suis régulièrement a b u s é, mais j’aime tellement cela. Un jour où vous vous prélassez dans le salon en regardant la TV et moi, complètement nu et en laisse, ayant le privilège de vous masser les pieds. Quelqu’un frappe à la porte.

— AH le voilà !

— Vous me laissez pour aller ouvrir. Je ne m’attends en rien à cette arrivée. L’homme entre, je ne sais plus où me mettre. Je ne le connais pas. Elle le prend au cou, l’embrasse, lui met les mains sur les fesses, puis l’homme se retourne vers moi.

— Alors c’est lui ton acquisition ?

— Oui j’en suis ravie d’ailleurs.

— Mouais je demande à voir.

Ils vont sur le canapé et discutent de tout et de rien. Moi, tenu en laisse aux pieds de ma Maitresse, je me permets seulement de saluer l’homme qui ignore totalement mon bonjour. J’ai encore ma petite queue toute dure du fait que peu de temps avant Maitresse s’était amusée à me faire bander après l’avoir piquée. Leur discussion est de courte durée. Elle met une main sur le pantalon de l’homme et commence à caresser sa queue à travers le tissu. Je n’éprouve pas de jalousie, juste de la fascination pour ma Maitresse et sa façon expérimentée de le caresser, il bande très rapidement. Elle ouvre son pantalon et se penche sur queue pour le sucer sans me prêter attention. Elle se relève, tenant l’homme par la main.

— Allonge-toi !

Je m’exécute... Elle s’empale sur ma petite queue en continuant à le sucer, lui debout. Elle prend ses couilles lisses dans sa bouche, engouffre sa queue dure et grosse dans sa bouche... Elle le fait rapidement jouir, il lui déverse son foutre sur le visage, elle tire la langue, le sperme dégouline jusque sur son impressionnante poitrine. Puis elle se penche sur moi et m’embrasse tendrement... Me donne ses seins à lécher. Je les nettoie minutieusement. Elle m’ordonne alors de remonter sur mon fauteuil qu’elle rapproche. Puis reprend la laisse et me fait la suivre jusque dans la cuisine, l’homme derrière nous. Tu peux mettre ma petite lope sur la table s’il te plait ? L’homme me prend dans ses bras et m’assied sur la table, puis ils se tournent l’un vers l’autre et il la baise juste devant moi sur le plan de travail de la cuisine. Elle me regarde vicieusement par-dessus son épaule, les yeux rayonnant de plaisir. Il la fait jouir fortement sous ses solides coups de reins, puis elle vient vers moi, m’embrasse en me rejetant en arrière.

Me fait allonger. Elle s’allonge sur moi, son sexe sur mon visage, me l’offrant à lécher

— Mmm tu es doué ma petite lope lécheuse... Tu aimes ça !!?? Hein ??

— Oh oui j’adore ma Déesse vénérée.

Je pousse des gémissements en bouffant son sexe empreint de sa dernière étreinte. L’homme vient par derrière elle, et nous nous ajustons, lui la sodomisant. Elle crie de plaisir, pousse des "oh oui, encore, baise moi" et "et toi lèche ma petite pute !" Elle jouit à nouveau puis lui à son tour. Elle me fait rejeter la tête en arrière sur le bord de la table. L’homme s’amuse à me gifler de sa queue et me titille les lèvres avec celle-ci, puis me la met dans la bouche pour que je le suce un peu, pour que je le nettoie. Mais il s’avère qu’il aime s’attarder, et me baise un peu la bouche, sa queue durcit à nouveau entre mes lèvres. Il me la met tant qu’il peut, au fond de ma gorge, sous les yeux de ma Maîtresse qui sourit. Elle lui dit "Alors il n’est pas plaisant mon petit toutou ?" L’homme prend un air offusqué, range sa queue et débande en prétextant qu’il est attendu...

— Une fois seul à seul elle me complimente.

— Tu as été parfait, je suis très contente de toi... Tu seras récompensé.

— Merci ma Maîtresse adorée c’est toujours un plaisir que de vous en donner.

— Viens prendre une douche avec moi... Je vais te gratifier de te quelque chose dont tu t’es montré digne.

Une fois sous la douche ce fut tendre et délicieux, elle m’embrasse, me caresse et me pince les tétons doucement, me colle contre elle, m’appuie tendrement le visage le long de ses cuisses et m’honore de son urine chaude et douce qui coule sur moi. Reconnaissant de cette récompense je mets mon visage sous le jet, un sourire radieux aux lèvres. J’ouvre la bouche... Sa douce urine me coule dans la gorge mais je n’ose pas l’avaler. Elle comprend sûrement mon envie et me fait abandonner mon reste de fierté mal placée en me collant la bouche avec force sur son sexe pour que je puisse avaler..."Il fait le fier !" Un petit rire séduisant accompagne ses mots.

Quelques jours plus tard elle me réveille en pleine nuit, une fois de plus pour que je la lèche. Fatigué je lui dis que non je n’ai pas envie. Elle est prise d’une colère folle... Et cette fois-là me v i o l e vraiment... Enfin presque puisqu’elle y met tant d’ardeur que sa volonté prend le dessus sur moi jusqu’à ce que j’en apprécie finalement la chose. Je ne peux lui échapper, mon fauteuil est loin et elle a tout pouvoir sur moi...

J’essaie de résister mais elle me dit "Tu crois quoi !?? Que tu vas pouvoir me tenir tête !" Je dois bien admettre que je n’ai pas le choix... Le lendemain, après réflexion, je la remercie de m’avoir empêché de partir, et je lui avoue que bien que n’ayant ressenti aucun plaisir à être violé au début j’aimerais maintenant qu’elle recommence, que j’ai envie de connaître ça à nouveau.

— Tu es à moi ! Réfléchis, tu as voulu, tu es venu et maintenant tu es à ma merci, je suis libre de faire de toi ce que je veux, que tu le veux ou non...

Soumis de MistresseK